13 août 2001, 0h00
Partager
Lors d’une récente conférence sur le thème «Biodiversité et Société», coorganisée à New York par l’Université de Columbia et l’UNESCO, en mai 2001, le pire ennemi de la bioconservation a été identifié et durement étiqueté: il s’agit de la pauvreté. Pour durer, la bioconservation doit être profitable, et les initiatives qui séparent la production de la conservation créent des conflits plus qu’elles n’apportent de solutions, ont expliqué les plus purs des défenseurs de l’écologie et de la bioconse...
Ce contenu est LIBRE d’accès. Pour le lire, il vous suffit de créer un COMPTE GRATUIT