18 février 2000, 0h00
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Dans ces mêmes colonnes, le professeur et conseiller national Jacques Neirynck, le 20 janvier dernier, rappelait de manière très pertinente que les scientifiques sont rarement en mesure de fournir des «certitudes» et que ceci ne facilite pas la tâche des décideurs politiques et économiques. Il illustrait son point de vue avec l’exemple de la tempête de décembre 1999, que les scientifiques ne peuvent pas mettre sur le compte du réchauffement de la planète sans de réserves majeures. En fait, tous ...
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