13 mai 2004, 0h00
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Les marchés d’actions viennent de traverser une phase de pessimisme marquée. Il est vrai que les incertitudes abondent à l’heure actuelle. Les marchés boursiers ont réagi de manière excessivement nerveuse au rapport sur l’emploi d’avril aux Etats-Unis. Les créations d’emploi ont surpris en bien, ce qui combiné avec une accélération cyclique de l’inflation ramène sur les devants de la scène le vieil épouvantail des marchés d’actions, la Réserve fédérale.
Les marchés à terme anticipent maintenant...
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