27 avril 2005, 0h00
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Les immigrés de la deuxième génération réussissent souvent mieux leur formation que les Suisses d’origine. Mais le passeport rouge ne garantit pas une bonne intégration professionnelle, surtout pour les femmes et les personnes issues de migrations récentes.
Ces observations ressortent d’une étude présentée mardi à Berne sous l’égide de l’Office fédéral de la statistique. Sur la base du recensement de la population 2000, elle analyse les liens entre intégration et naturalisation des quelque 50...
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