17 juillet 2006, 0h00
Partager
Il y a quelques mois, l’investisseur qui se diversifiait ne pouvait être perdant. Le schéma de diversification était large et dépassait le cadre des matières premières (très à la mode) connues. Bois de charpente, possession de territoires forestiers en Nouvelle-Zélande, tout pouvait entrer en ligne de compte. D’autant plus qu’acheter des obligations n’étant pas raisonnable, il fallait bien trouver une alternative. Et pour des questions de risques, suite à la grande baisse du printemps 2003, il n...
Ce contenu est LIBRE d’accès. Pour le lire, il vous suffit de créer un COMPTE GRATUIT