26 juin 2009, 0h00
Partager
Le besoin de conserver du capital dans la récession actuelle, conjugué à l’incertitude des cash-flows disponibles futurs, fait que le cash est roi aujourd’hui. Les programmes de rachat d’actions ont, sinon été renvoyés aux calendes grecques, du moins été différés sine die. Même les sociétés richement dotées favorisent une telle situation. Ou alors elles effectuent une acquisition, telles par exemple Roche (son OPA sur le reste des actions Genentech) ou Holcim avec le rachat de Cemex Australie. E...
Ce contenu est LIBRE d’accès. Pour le lire, il vous suffit de créer un COMPTE GRATUIT