14 septembre 2007, 0h00
Partager
Alors qu’à la fin des années 1990, les entreprises européennes entraient avec tambours et trompettes à Wall Street, les Danone, Adecco et autres BASF désertent aujourd’hui par la petite porte une cotation prestigieuse, mais coûteuse et surtout très contraignante. «L’entreprise prend une dimension transnationale», claironnait le géant allemand de la chimie BASF lors de son début à la Bourse de New York en 2000, tandis que le groupe d’énergie EON célébrait son entrée «dans une ère globale», sur fo...
Ce contenu est LIBRE d’accès. Pour le lire, il vous suffit de créer un COMPTE GRATUIT