02 juillet 2007, 0h00
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Le premier ministre portugais José Socrates, dont le pays va désormais assumer la présidence de l’UE jusqu’en janvier 2008, a déclaré hier qu’il fallait «s’abstenir de porter un jugement moral sur la Russie». On est tenté d’applaudir: l’une des plaies de notre temps est de tout mélanger: la morale, la politique, la justice et la vérité. En matière de relations internationales, sans donner nécessairement dans une Realpolitik cynique, il convient tout de même de distinguer entre ce qui est souhait...
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