25 août 2006, 0h00
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Fabrice Delaye,
à Paris
Le résultat des élections suédoises du mois prochain est attendu avec impatience par une armée grossissante de banquiers et de gérants de fonds qui investissent dans les infrastructures. Le leader de l’opposition, Frederik Reinfeldt, qui est en tête des sondages, prévoit un programme de privatisations radicales. S’il l’emporte, il mettra sur le marché non seulement les participations de l’Etat suédois dans des grandes entreprises comme Telia ou Nordea, mais des actifs t...
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