11 mai 2010, 0h00
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Au travers de la crise financière en cours, deux bizarreries ont survécu: la culture des bonus et les agences de notation. Pour la première, on s’interpelle quant à son utilité: rétribue-t-on son avocat ou sont chirurgien de cette façon? Dans les deux cas des honoraires sont fixés. Là, le procédé est tout autre et on se demande ce qui viendra mettre un terme à cette plaisanterie.
Quant aux agences de notation, leur survie ne relève plus de l’insolence mais du danger qu’elles représentent pour...
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