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Les gestionnaires de patrimoine suisse ne peuvent pas toujours ignorer le droit musulman, surtout en matière de successions

Le droit musulman des successions, «mawa risa» en arabe, est d’une redoutable complexité, notamment en l’absence d’héritier mâle. Les solutions contraires à ce droit courent le risque d’être annulées.

06 mars 2000, 0h00
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Alors que les banques sont fréquemment confrontées aux besoins de la clientèle originaire des pays musulmans, les aspects juridiques de la gestion de patrimoine doivent être pris en considération. «Il ne suffit pas toujours d’être présent à Londres et New York», estime Me Franco Foglia. Cet avocat genevois souligne la nécessité de tenir compte du droit musulman, notamment en matière du droit des successions. «Toute solution contraire au droit islamique court le risque d’être annulée en vertu de ...
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