06 mars 2001, 0h00
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En matière de gestion de fortune, la renommée de la Suisse n’est plus à faire. Pourtant, avec le rachat de PaineWebber, on a compris que l’UBS n’acquérait pas uniquement une masse sous gestion mais un savoir-faire et une notoriété qui devraient être le moteur durable de sa croissance (lire l’article de Philippe Rey dans l’agefi du 23 février). Pour preuve, UBS a décidé hier de rebaptiser sa filiale en UBS PaineWebber afin de faciliter sa pénétration du marché américain.
La taille gigantesque du ...
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