09 juin 2008, 0h00
Partager
La France pousse un ouf de soulagement: épaulée par son puissant voisin et avec l’appui de six autres pays de l’Union européenne, elle a réussi à imposer à ses partenaires, réunis le 6 juin à Luxembourg, son alternative au plan radical proposé par la Commission européenne pour libéraliser le marché du gaz et de l’électricité en Europe. Plus question désormais d’un découpage obligatoire des grandes entreprises énergétiques européennes. Celles-ci pourront conserver leurs activités de production et...
Ce contenu est LIBRE d’accès. Pour le lire, il vous suffit de créer un COMPTE GRATUIT