26 octobre 2005, 0h00
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Pour l’ancien président de la République tchèque (de 1990 à 2003), la mondialisation est indéniablement quelque chose de positif pour l’Europe centrale. Mais il précise aussitôt que les fruits mettront du temps à mûrir. D’abord parce que sortir du communisme n’est pas une mince affaire: quand tout a appartenu à l’Etat pendant quarante ans, au point que même un salon de coiffure n’était pas privé, une population ne peut passer instantanément à une vie où se conjuguent risques et responsabilité. E...
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