16 juin 2008, 0h00
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Chaque semaine livre désormais son lot de petites nouvelles illustrant le poids grandissant des fonds souverains dans l’économie européenne ou américaine. Au-delà de l’intérêt du fond Abu Dhabi Investment Council (ADIC) pour le Chrysler Building de New York. Ou de la prise de participation de 5% de Mubadala, bras financier du même émirat, dans la marque automobile Ferrari. Agissant de plus en plus comme un hedge fund, ADIC a en outre joué un rôle décisif le mois dernier dans la reprise, au géant...
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