20 avril 2009, 0h00
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Autrefois objets de méfiance, les fonds des Emirats arabes unis suscitent désormais de nombreux espoirs en Allemagne, où la crise fragilise les trésoreries des fleurons de l’industrie.
«Chevalier blanc», possible «sauveur», «ange gardien», les qualificatifs en vogue dans certains journaux rivalisent dans la surenchère.
Il y a un an à peine, pourtant, les fonds souverains incarnaient encore les financiers rapaces. L’été dernier, le gouvernement allemand avait adopté une loi limitant les investi...
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