27 août 2007, 0h00
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Comparer la crise actuelle à celle de 1998 c’est oublier les excès commis depuis mi-2003. Fin 1998 on constatait l’accélération des rapprochements d’entreprises avec un certain scepticisme. Les nouvelles entités constituées ne répondaient pas aux espoirs placés en elles. Le coût social de ces opérations était élevé et bien peu de statistiques le comptabilisaient. Les institutionnels ne retiraient pas de ces fusions la rentabilité attendue. Bien sûr les compensations financières obtenues équilibr...
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