04 décembre 2006, 0h00
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On peut penser ce qu’on veut du dix-huitième siècle, mais il faudrait avoir l’esprit bien chagrin pour ne pas apprécier l’esprit frondeur des intellectuels à cette époque. Non pas seulement contre tel ou tel duc, comte ou aristocrate, mais contre le régime monarchique lui-même. Aujourd’hui, comment ne pas avoir la nostalgie des pétillements intellectuels d’un Beaumarchais, d’un Diderot, d’un Voltaire. Aujourd’hui, tout le monde s’agenouille devant la démocratie sans même bégayer un murmure de pr...
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