27 avril 2011, 0h00
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Des océans d'encre (ou d'octets) ont été déversés au cours de ces trois dernières années pour tenter de mettre en forme les moyens de résoudre l'énigme des banques too big to fail. De nombreux intellectuels et experts ont fustigé les régulateurs et les banquiers centraux pour leur incapacité à comprendre les attraits évidents du «narrow banking»;, une restauration de l'ère Glass-Seagull visant à instituer une séparation entre le secteur bancaire commercial et de celui de l'investissement/d'affai...
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