21 février 2007, 0h00
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«La démocratie était prise en otage», a fustigé Pradap Pibulsonggram, l’ambassadeur de Thaïlande en Suisse. Lors d’une conférence organisée hier par la SOFI (Swiss Organisation for Facilitating Investments) et l’auditeur KPMG, il a voulu corriger le tir auprès des investisseurs helvètes. La perception des événements du mois de septembre a été mal interprétée par la communauté internationale: le coup d’Etat a été lancé pour stabiliser la nation. Le gouvernement provisoire doit maintenant rédiger ...
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