14 décembre 2011, 0h00
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Les multinationales américaines tentent de relativiser l'importance de leur exposition à la zone euro, même si la crise met en danger leurs activités outre-Atlantique ainsi qu'une partie de leur trésorerie et de leur financement.La plupart des entreprises interrogées refusent de s'exprimer publiquement sur cette question sensible. Pour Gregori Volokhine, directeur de la société de gestion d'actifs Meeschaert New York, «elles sont discrètes parce qu'elles font aussi face à l'inconnu»;.Mais le fin...
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