22 février 2005, 0h00
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En rachetant les sociétés allemande et américaine Hexal et Eon Labs pour l’équivalent de plus de 8 milliards de dollars, Novartis accepte de payer entre trois et quatre fois les ventes cumulées des deux fabricants de génériques. Une acquisition plutôt chère, estimaient hier la plupart des analystes, si l’on considère que les transactions du même type se sont généralement négociées à un peu plus de deux fois le chiffre d’affaires des sociétés rachetées. Si le groupe bâlois paie au prix fort le re...
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