09 février 2001, 0h00
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Les experts suisses, qui examinent des prélèvements contaminés à l’uranium appauvri ramenés du Kosovo pour le compte de l’ONU, estiment que les risques de leucémies résultant de l’exposition à cette matière radioactive sont très improbables.
«La leucémie, c’est le dernier signe que l’on peut attendre de l’uranium appauvri à si court terme», a indiqué hier un de ses experts Bernhard Anet, interrogé au sujet des conséquences des bombardements de l’OTAN au Kosovo en 1999.
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