09 mai 2008, 0h00
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Les banques américaines veulent croire que le pire de la crise née sur le marché du crédit immobilier est désormais derrière elles, mais déjà se profile une nouvelle menace: l’accumulation de mauvaises créances résultant de la détérioration de la conjoncture.
«Je crois réellement que le pire devrait être derrière nous», a indiqué le secrétaire au Trésor Henry Paulson, tout en reconnaissant que des «cahots» étaient toujours possibles avant un rétablissement complet de la première économie mondia...
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