29 avril 2009, 0h00
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Mauvaise nouvelle pour Josef Ackermann et les autres dirigeants suisses en poste en Allemagne. Même si le président du directoire de la Deutsche Bank a agréablement surpris les analystes en annonçant hier des profits supérieurs aux attentes, le St-Gallois devrait avoir le plus grand mal à être «récompensé» pour ses efforts. Berlin est bien décidé à continuer de s’attaquer aux salaires des dirigeants d’entreprises. La grande coalition veut contraindre les patrons à assumer personnellement, sur le...
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