17 mai 2005, 0h00
Partager
Double mandat, rémunération jugée démesurée, mauvaise gestion: les dirigeants des grandes entreprises suisses subissent toujours plus les feux de la critique. Les entrepreneurs à la tête de leur propre firme sont en revanche rarement critiqués.
«Un entrepreneur indépendant s’identifie jusqu’au bout des doigts avec son entreprise», explique Peter Andreas Zahn, directeur de l’Association des sociétés anonymes privées (ASAP). Par contre, un manager mène ses réflexions en étant moins lié. Mais les ...
Ce contenu est LIBRE d’accès. Pour le lire, il vous suffit de créer un COMPTE GRATUIT