30 août 2015, 21h53
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C’est peu dire que les nerfs ont été mis à rude épreuve. Aussi bien du côté des acheteurs que des vendeurs. Après l’une des semaines les plus chaotiques de mémoire d’opérateur à l’échelle globale, les premiers s’interrogent sur les pertes potentielles qu’un relèvement périlleux des taux d’intérêt américains pourrait avoir sur les actifs. Les seconds se demandent si, au fond, le nouveau cycle monétaire de la Réserve fédérale et le renforcement du dollar ne sont pas des motifs de rester... acheteu...
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