08 novembre 2006, 0h00
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John Kerry s’était trompé en 2004 en croyant que les Américains allaient présenter à George W. Bush la facture de ses errements militaires. Deux ans plus tard, l’heure des comptes a sonné. Au terme d’une campagne focalisée sur l’Irak, les analystes avaient une explication toute prête pour la défaite attendue des républicains hier: «L’Irak, l’Irak, l’Irak, assurait le chroniqueur du National Journal, Chuck Todd. La guerre a pesé pour 70% dans cette élection.»
Le président et son entourage ne sau...
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