02 octobre 2000, 0h00
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On ne peut pas, d’une main, signer un accord avec un partenaire, et de l’autre, lui planter un couteau dans le dos. Voilà en substance le sentiment de Philippe Virdis, directeur général des Entreprises électriques fribourgeoises (EEF) à l’égard des Vaudois de la Romande Energie. Au centre de la bisbille: la récente annonce, en grandes pompes, d’un partenariat entre Electricité de France et la Romande Energie pour l’utilisation exclusive de la méthode «Travaux sous tension» (TST) dans les cantons...
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