31 janvier 2011, 0h00
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Il en fallait un; un banquier central, détaché des influences et des divers gouvernements, pour clamer haut et fort ce que les politiciens de part et d'autre de l'Atlantique rechignent tant à formuler, à savoir, que cette crise est l'achèvement de dépenses excessives, et ne trouvera son issue que dans la détérioration du niveau de vie des pays concernés. Mervyn King, de la Banque d'Angleterre (BoE) est celui-ci. Il a pris le taureau par les cornes cette semaine lors de son discours télévisé, dan...
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