15 octobre 2004, 0h00
Partager
Les chefs des départements cantonaux de justice et police lancent la campagne du oui à l’accord de Schengen/Dublin. Il va, selon eux, «accroître la sécurité et réduire le nombre des demandeurs d’asile».
Les cantons et les milieux économiques sont sur le qui-vive. Echaudés par les récentes votations où le peuple a refusé en bloc les naturalisations facilitées, ils n’entendent pas se laisser damer le pion sur Schengen/Dublin, a indiqué la conseillère d’Etat bernoise, Dora Andres, responsable de l...
Ce contenu est LIBRE d’accès. Pour le lire, il vous suffit de créer un COMPTE GRATUIT