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Les dérives du rigorisme en matière de climat

Le Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat (GIEC) est devenu en vingt ans l’une des organisations les plus influentes du monde. Auréolée du prix Nobel de la paix en 2007, cette émanation de l’ONU est parvenue à placer son objectif, la lutte contre le réchauffement, tout en haut de l’agenda politique international. Les raisons de cette attention? Le GIEC annonce un réchauffement climatique aux effets désastreux. Et il demande à l’humanité de limiter de manière draconienne l’usage de ces énergies, quitte à ralentir son développement économique. Pourtant il arrive que le GIEC soit pris en faute. Dans son ouvrage, Etienne Dubuis retrace l’histoire de cette organisation controversée. Extraits.

11 juin 2010, 0h00
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Le rayonnement du Soleil, le pouvoir réfléchissant de la surface terrestre, l’effet de serre, la dilatation des océans, la fonte des glaciers et du sol gelé. Le débat sur le changement climatique évoque des phénomènes naturels de grande amplitude et de longue durée, qui projettent l’homme vers d’autres échelles de l’espace et du temps : celle de la planète, entre atmosphère, mers et continents, et celle de l’histoire, du plus lointain passé aux siècles à venir. Attention à ne pas l’oublier cepen...
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