29 janvier 2002, 0h00
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«Il était clair dès le début qu’un tel projet n’aurait aucune chance en votation populaire, surtout en période de difficultés économiques». Cette remarquable leçon de lucidité, c’est le président de l’Assemblée fédérale Hans-Rudolf Nebiker qui l’avait prodiguée au soir du 27 septembre 1992.
Ce jour-là, se jetant dans les bras des jeunes de l’UDC qui avaient lancé le référendum, le peuple suisse avait pulvérisé la réforme du Parlement. En refusant à presque trois contre un aussi bien l’augmentat...
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