04 novembre 2005, 0h00
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L’excitation est retombée aussi vite que la crise s’était propagée. Angela Merkel a fait un discours pour assurer que le succès de la future grande coalition était une «nécessité indispensable». Edmund Stoiber, le patron de la très catholique CSU bavaroise qui s’est replié à Munich au lieu d’assumer son poste ministériel, est contesté par son parti, mais se fait provisoirement oublier à Rome où il doit être reçu par Benoît XVI.
Quant aux sociaux-démocrates, leur conclave de mercredi soir s’est ...
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