10 novembre 2009, 0h00
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En 1962, dans L’Afrique noire est mal partie, l’agronome René Dumont évoquait les carences des élites dirigeantes et celles de l’aide étrangère. Ces critiques qui se répètent au fil des années expliquent pourquoi, depuis 1970, la courbe de la population (+2 à 3% par an) dépasse celle de la production vivrière. Malgré la hausse des importations de grain, la pauvreté augmente: 345 millions d’âmes en 2005 contre 227 en 1990, les services, l’industri...
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