22 janvier 2010, 0h00
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A l’heure où nous écrivons, les marchés américains sont au plus haut. Le S & P500 est à 1150. L’avance quasi continue enregistrée depuis mars 2009 pourrait donner l’impression d’un marché fortement haussier, voire exubérant, mais dans la réalité, il n’en est rien. Depuis la mi-octobre, les gains sont marginaux. Ceux qui ont des positions spéculatives acheteurs le voient bien dans leurs comptes: leurs profits sont pour ainsi dire nuls. Tout se passe comme si l’on jouait les prolongations du rally...
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