25 juillet 2007, 0h00
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La crise. Qu’elle soit identitaire, de la quarantaine, de fou rire ou diplomatique, la crise se définit par un changement subit d’état, généralement décisif. Et cette phase de rupture amène un nouvel état, meilleur ou moins bon. L’histoire économique n’y échappe pas. Car il n’y pas de capitalisme sans crises financières, selon l’un des plus grands historiens économiques contemporains, Charles P. Kindleberger. De la première bulle spéculative autour des bulbes de tulipes de 1634 à 1637 (Tulipoman...
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