09 octobre 2001, 0h00
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Les bombardements américano-britanniques sur l’Afghanistan ont été accueillis avec sang-froid hier par les marchés pétroliers, où les cours du brut sont restés étonnamment stables, les courtiers jugeant que l’approvisionnement de brut n’étaient pas menacé dans l’immédiat.
Mais ces derniers restent sur le qui-vive, surveillant l’évolution de la situation militaire et les faits et gestes de l’Organisation des pays exportateurs de pétrole (OPEP), qui semble se préparer à une baisse de sa production...
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