17 juillet 2006, 0h00
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Les incursions militaires israéliennes au Liban et à Gaza ont propulsé les prix du baril de pétrole à de nouveaux records, mais ils n’ont provoqué encore aucun accès de fièvre des valorisations des compagnies pétrolières. Vendredi, les principales européennes n’ont ainsi dire pas bougé pas plus que les américaines.
Hier en fin d’après-midi, le baril de West Texas Intermediate négocié à New York se payait 77,60 dollars, en hausse de 1,04% par rapport à la veille. Simultanément, l’action du numér...
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