30 septembre 2004, 0h00
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L’optimisme n’étant pas véritablement de mise pour les marchés actions, et alors que les risques de corrections ne sont pas écartés pour les obligations, quoi de plus logique que de s’intéresser aux emprunts convertibles. Si cet instrument n’offre pas la promesse d’assurer des rendements aussi élevés que les placements en actions, son avantage est indéniablement celui d’une volatilité moindre sur la durée. «Il ne s’agit pas de raisonner uniquement en termes de rendements absolus, mais en termes ...
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