05 septembre 2011, 0h00
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Alfredo Gysi, le «père»; du projet Rubik, peut savourer une certaine victoire personnelle depuis quelques semaines. Le concept d'impôt libératoire, que le président de la Banque de la Suisse italienne (BSI) avait lancé il y a près de deux ans, a mis du temps avant de convaincre. Mais après la Grande-Bretagne et l'Allemagne, ce sera peut-être demain au tour de l'Italie et de la France de trouver un accord fiscal avec la Suisse. Alfred Gysi analyse la situation actuelle.Après la Grande-Bretagne et...
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