27 octobre 2000, 0h00
Partager
Georges-André Carrel, directeur des sports universitaires de Lausanne, commente la performance de Mike Horn, qui termine vendredi son tour du monde le long de l’équateur.
«Je ne peux pas m’imaginer qu’on sorte tout à fait indemne d’une telle expérience», estime M. Carrel. Pour ce spécialiste de la préparation aux grands rendez-vous sportifs, Mike Horn sera marqué par son exploit. «Le corps des grands sportifs d’endurance sur de très longues distances, comme les triathlètes de l’Ironman d’Hawaï, ...
Ce contenu est LIBRE d’accès. Pour le lire, il vous suffit de créer un COMPTE GRATUIT