26 avril 2001, 0h00
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Le travail au noir est répréhensible, puisqu’il enfreint les règles de la concurrence, soustrait des sommes considérables au fisc et constitue une menace pour ceux qui s’y prêtent. Il est d’autant plus répréhensible qu’il touche les éléments les plus faibles de la société: les femmes, les travailleurs peu qualifiés, les requérants d’asile, les étrangers prêts à tout pour trouver un emploi. Il est donc juste que l’on s’emploie à éradiquer un phénomène qui a pris dans ce pays une ampleur inquiétan...
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