14 avril 2000, 0h00
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«En matière de recherche, la coopération internationale accroît l’efficacité, diminue le coût supporté par chacun et minimise le risque de l’investissement», a souligné Ruth Dreifuss. La Suisse, qui participe depuis 1987 aux programmes-cadre de l’Union européenne, a pu en faire l’expérience.
Mais les chercheurs mesurent aussi l’inconfort de leur statut: participation projet par projet, impossibilité d’en lancer, d’en coordonner ou d’en diriger, peu d’accès aux résultats, aux bourses, aux actions...
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