19 décembre 2005, 0h00
Partager
Le ministre des finances Hans-Rudolf Merz rejette fermement tous les soupçons d’être le potiche de Christoph Blocher dans le débat du Conseil fédéral sur la vente de Swisscom. Il évite cependant la moindre critique à l’égard de son collègue, qui a pourtant vendu de manière intempestive la mèche sur l’interdiction faite à Swisscom de s’engager à l’étranger et ainsi fait déraper la communication du Conseil fédéral. Même si c’est le tribun zurichois qui a proposé cette interdiction, Hans-Rudolf Mer...
Ce contenu est LIBRE d’accès. Pour le lire, il vous suffit de créer un COMPTE GRATUIT