04 janvier 2000, 0h00
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Les CFF ont perdu de leur ponctualité l’an dernier. Sur près de 6500 trains journaliers, 500 d’entre eux en moyenne enregistraient des retards de plus de quatre minutes (+200 par rapport à 1998). Les intempéries sont montrées du doigt. Sans les chutes de neige en février ou les inondations au printemps, les CFF n’auraient pas failli à leur réputation, a indiqué hier Jean-Louis Scherz, porte-parole de la société. Le but des CFF dans ce domaine: pas plus de 5% des trains avec des retards dépassant...
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