18 septembre 2003, 0h00
Partager
Avant même d’avoir touché la Côte est des Etats-Unis, l’ouragan Isabel avait déjà fait ses premières victimes: les investisseurs en dérivés climatiques, ces obligations ou options liées aux produits d’assurance dévolus aux cataclysme naturels. Dès que la direction du cyclone a indiqué qu’il menaçait la Caroline du Nord et la Virginie de toute la puissance que lui conférait son amplitude maximale sur l’échelle Saffir-Simpson, plusieurs emprunts obligataires dont le rendement dépend de la survenan...
Ce contenu est LIBRE d’accès. Pour le lire, il vous suffit de créer un COMPTE GRATUIT