08 janvier 2002, 0h00
Partager
Si elle n’explique pas tout, une large diversification entre les différents types de placements s’est avérée un choix judicieux pour les caisses de pension suisses dans une année boursière aussi mouvementée que 2001. L’exemple de la Ville de Zurich est ici frappant (pour les villes romandes, lire l’article d’Yves Hulmann en page 8). Malgré une politique de placement relativement agressive, avec un total de plus de 30% en actions suisses et étrangères mais seulement 11% en obligations, elle a réu...
Ce contenu est LIBRE d’accès. Pour le lire, il vous suffit de créer un COMPTE GRATUIT