12 septembre 2000, 0h00
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Sale temps pour les places boursières. Naguère très sûres d’elles-mêmes, du fait qu’elles opéraient sur des segments ultra-protégés, les bourses ne peuvent plus se voiler la face. En l’état actuel, elles ont perdu le premier round face aux réseaux électroniques, lesquels prennent une part toujours plus importante des transactions, notamment sur le marché des actions. Ce succès grandissant s’explique en grande partie par le fait que ces réseaux affichent des tarifs défiant toute comparaison, et p...
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