22 décembre 2006, 0h00
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Les financiers de la City de Londres célèbrent cette année encore des bonus records, une manne qui rapporte des milliards de livres d’impôts à l’Etat mais fait aussi grimper l’ensemble des prix. «Bonus, bonus!», clamaient la semaine dernière les vendeurs du journal du soir pour annoncer la publication des résultats de Goldman Sachs.
Un cocktail à 500 euros et des salaires à 8,27
Chaque décembre, le grand public découvre ainsi la bonne fortune des «golden boys», récompensés par leurs banques en...
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